Un article du journaliste Guillaume Bourgault-Côté paru sur le site du quotidien québécois Le Devoir. Libre de penser , le 16 juillet 2016.
C’est l’une des images les plus fortes — et insoutenables — du drame. Une poupée rose, abandonnée à côté du corps anonyme d’une des 84 victimes de l’attentat de Nice. Une poupée dont on ne connaît pas l’histoire, mais qui dit en silence une réalité brutale : le camion meurtrier a visé une fête familiale et la frange la plus vulnérable et inoffensive de la société.
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