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Clark Olofsson et deux otages, photo prise avec un appareil que la police a passé à travers un trou jusque dans la chambre du coffre-fort de la banque.

Il y a 50 ans, Stockholm devenait un syndrome, et si c’était plutôt un mythe ?

Un article de la RTBF du 23/08/2023

C’est le syndrome le plus célèbre et en fait le plus méconnu. De Natascha Kampush aux otages des Farc, en passant par les personnages de fiction comme Monica dans la série Casa de papel, le syndrome de Stockholm est souvent invoqué. A tel point que, cinquante ans après sa conceptualisation, il nous semble familier.

Sans être psychologue, on peut facilement le définir : c’est une situation où un otage développe un attachement envers son kidnappeur. Ce syndrome est en réalité plus complexe, très rare, et son existence même est remise en question.

23 août 1973 : le jour où Stockholm est devenu un syndrome

Le concept est né à la suite d’une prise d’otage qui durera 6 jours, dans une banque de Stockholm, en 1973. Elle commence par ces mots « The party has just begun ! » (« La fête ne fait que commencer ! ») prononcés en anglais, mitraillette à la main, par Jan-Erik Olsson.

C’est un détenu en fuite. Un pro des coffres-forts. La police arrive en nombre, les tireurs d’élite et bientôt les photographes pointent leur attirail respectif sur la Sveriges Kreditbanken.

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