Un article de Mathieu Colinet, journaliste au pôle Economie, du quotidien belge Le Soir, le 11/05/2024.

Pour avancer, il faudrait aller à la rencontre des parts les plus sombres de soi, disent les promoteurs de cette nouvelle tendance.

C’est l’une des dernières tendances au cœur de ce large mouvement du développement personnel : le shadow work. Une vague relativement puissante si l’on en juge par le nombre de contenus qui y font référence sur les réseaux sociaux actuellement. Certains en apparence sérieux et renvoyant plus ou moins directement à des livres écrits sur le sujet – comme celui du docteur en psychologie Emeric Lebreton. Et d’autres plus « évanescents » tout de même, évoquant sur un mode presque spirituel ces « forces obscures » tapies en chacun de nous. Dans un cas comme dans l’autre, cela dit, une même idée domine : ne pas s’intéresser aux parts de soi les plus sombres, ce serait faire fausse route ; pour « avancer », il faudrait même, au contraire, en prendre toute la mesure.

Pour lire la suite de l’article sur le site du Soir : https://www.lesoir.be/art/d-20240510-H58VMK ou ci-dessous dans l’encadré.